sexta-feira, 30 de dezembro de 2011

Bourses: les perdants et les gagnants de 2011


L'Expansion.com
 - publié le 30/12/2011 à 17:27

L'année 2011 aura été difficile pour la plupart des bourses mondiales... mais pas toutes. Et quelques entreprises sont parvenues à tirer leur épingle du jeu sur les places qui ont terminé nettement dans le rouge.
Un tableau électronique montrent le plongeon des bourses italiennes le 9 août 2011.
Reuters/Tony Gentile
3000 milliards de dollars partis en fumée
"Les marchés ont vu le fond de l'abîme en 2011". Cette formule des analystes d'HSBC résume bien la crainte du krach qui a habité les investisseurs durant une année riche en secousses. Après les révolutions arabes et la catastrophe nucléaire japonaise, c'est en effet le feuilleton de la crise de la dette européenne qui les a tenus en haleine. Le tout agrémenté des menaces ou des dégradations effectives des agences de notation, qui ont semé le doute y compris sur des pays réputés intouchables. De quoi amplifier l'aversion pour les actions, actifs risqués par excellence. La conséquence? La capitalisation des bourses de la planète s'est effondrée de 3000 milliards de dollars, selon les calculs de Standard & Poor's. Cette chute est toutefois moins dramatique qu'en 2008. L'indice MSCI World a en effet reculé de 8,8% cette année alors qu'il s'était effondré de 40% il y a trois ans. Elle est également, pour l'instant, moins spectaculaire que l'éclatement de la bulle internet. Laquelle s'était traduite par trois années consécutives dans le rouge, en 2000, 2001 et 2002, avec des baisses annuelles du MSCI World comprises entre 13% et 19,5%.
Des chutes de -5,5% à -53% en Europe
Toutes les places financières de la zone euro ont été emportées dans la tempête, certaines étant victimes d'un krach. Aucun des sommets européens, depuis le premier plan sur la Grèce entériné le 21 juillet, n'a en effet permis de rebond durable. Et c'est sans surprise la Bourse d'Athènes qui a connu la plus forte débâcle (-53%). Elle est suivie par Milan (-26%), sanctionnant ainsi le fait que l'Italie se trouve désormais en première ligne. L'évolution des bourses ne reflète toutefois pas uniquement les performances économiques ou budgétaires des pays. Le Dax allemand (-15,4%) affiche en effet un recul plus important que l'Ibex 35 de la fragile Espagne (-13,9%) car il est composé de valeurs très cycliques, explique Les Echos. En revanche, Francfort fait légèrement mieux que Paris, en baisse de 16,95%. Dans ce contexte, rester à l'écart de la zone euro permet de limiter les dégâts : Londres termine l'année sur une baisse de 5,5%. Zurich abandonne 8%.
6 valeurs du Cac 40 dans le vert
La Bourse de Paris est emblématique des mouvements qui ont affecté les places mondiales. Ce sont d'abord les valeurs bancaires, directement impactées par la crise de la dette, qui ont entraîné le Cac 40 dans leur chute. C'est surtout vrai pour la Société générale (-59%) et Crédit agricole (-55%) car BNP Paribas a réussi à limiter la casse à -37,5%. La palme de la plus mauvaise performance revient pourtant à Veolia Environnement, sanctionné d'un -62% en raison de son endettement massif et des ses avertissements. Au-delà, ce sont les activités les plus cycliques qui ont le plus souffert, comme l'automobile (Peugeot perdant 58%) ou les matières premières. On trouvera ici la liste des plus grosses dégringolades du Cac. Reste que le plus gros " gadin " se situe toutefois en dehors du Cac: il est à mettre au passif d'Air France-KLM (-71%) et de performances opérationnelles jugées très inquiétantes.
Le club des bons élèves ayant terminé 2011 dans le vert se limite à 6 entreprises. Parmi elles, EADS, ses ventes record et son carnet de commandes bien rempli se distingue avec une hausse du titre de 35% sur un an. Sanofi-Aventis (+16%) et Essilor (+10%) complète le podium de valeurs dites défensives. On y ajoutera Technip (+2,75%), Danone (+1,1%) et Pernod Ricard, repêché in extermis (+0,28%).
Un plongeon de 20% pour les marchés émergents
Les pays émergents ont aussi lourdement souffert: l'indice "MSCI Emerging Markets", baromètre de leur performance boursière, a chuté de 20% cette année, contre une progression de 18% en 2010. "Leurs perspectives de croissance ont été plus décevantes du fait notamment d'une stagnation du prix des matières premières", souligne Alexandre Baradez, analyste chez Saxo Banque. Pour Jean-Marie Mercadal, directeur général adjoint de la société de gestion OFI AM, le problème vient aussi du fait que "les pays émergents ne sont pas encore totalement immunisés vis-à-vis des pays occidentaux", principaux débouchés pour leurs exportations. Shanghai lâche environ 22% cette année, Moscou plus de 24%, Bombay près de 25% et Sao Paolo 18%.
Seuls les Etats-Unis résistent : +6%
A l'inverse de ces chutes vertigineuses, Wall Street n'a pas flanché, une performance d'autant plus notable que les Etats-Unis ont perdu en août leur précieuse note AAA. L'indice Dow Jones a gagné 6,13% sur 2011 et l'indice élargi Standard and Poor's 0,43%. Seul l'indice des valeurs technologiques Nasdaq a cédé 1,48%. "Le marché américain a résisté grâce à des signaux macroéconomiques encourageants, aux profits des entreprises et aux décisions exceptionnelles de la Réserve fédérale américaine", décrypte M. Baradez. "Cela devrait faire taire ceux qui ont critiqué ces mesures de relance. Alors que les Etats-Unis parviennent à maintenir un niveau de croissance, la zone euro va sans doute entrer en récession en 2012", ajoute l'analyste. La star de la bourse américaine en 2011 s'appelle McDonald, meilleure performance du Dow Jones avec une hausse de plus de 30% qui lui permet de passer le cap des 100 milliards de dollars de capitalisation. IBM (+26%), le laboratoire Pfizer (+24%) complètent le podium. Sur le Nasdaq, on retiendra la performance d'Apple (+25%) qui termine l'année avec une capitalisation de 376 milliards de dollars. Une performance néanmoins insuffisante pour rattraper Exxon Mobil et ses 407 milliards.







Estrangeiros se retraem e Bolsa fecha o ano com queda de 18,1%

Bolsa fecha o ano com queda de 18,1%
Autor(es): ROBERTA SCRIVANO
O Estado de S. Paulo - 30/12/2011
http://clippingmp.planejamento.gov.br/cadastros/noticias/2011/12/30/estrangeiros-se-retraem-e-bolsa-fecha-o-ano-com-queda-de-18-1

De 9 modalidades de investimentos, só o Ibovespa teve desempenho negativo em 2011; foi o 3º pior resultado da Bolsa desde o Plano Real


O Índice da Bolsa de Valores de São Paulo (Ibovespa) fechou 2011 com queda de 18,11%. É o terceiro pior resultado anual da Bovespa desde 1995, ano de implementação do Plano Real. Números mais desastrosos que esse foram vistos em 1998 (-33,46%), período em que o mundo passava pelas crises asiática e russa, e em 2008 (-41,22%), quando a quebra do banco americano Lehman Brothers deu início à atual turbulência financeira.
Em uma lista com nove modalidades de aplicação, apenas a bolsa mostrou desempenho negativo neste ano. O motivo para o investimento em ação se consolidar como o pior de 2011 é justamente a crise internacional, intensificada no segundo semestre por problemas econômicos e financeiros dos países da União Europeia.

"A grande maioria dos investidores da Bovespa é de estrangeiros. Se há crise lá fora e eles têm dificuldades financeiras, sacam seus investimentos e derrubam a cotação da nossa bolsa", explica Rafael Paschoarelli, professor da Universidade de São Paulo (USP) e da Fipecafi. Diante desse argumento, Paschoarelli diz que considera de extrema relevância o aumento do número de brasileiros pessoas físicas na Bovespa. "Ficaríamos mais imunes às oscilações externas", detalha.

Maiores altas. As duas melhores opções de investimentos de 2011 foram o ouro (alta de 15,85%) e o dólar (12,32%). A crise financeira também é a responsável pela colocação das modalidades no topo do ranking de rentabilidade. Ambos são tidos como reservas de valor e considerados alternativas mais seguras para investimento, portanto têm valorização em tempos de turbulência econômica.

"Se você olhar um período mais longo, verá que desde o ataque de Bin Laden ao World Trade Center, a procura por ouro cresceu muito. O receio de comprar algo que não é palpável ou que pode ser destruído fez as pessoas retomarem o interesse pelo ouro", completa André Nunes, diretor da corretora Reserva Metais, que negocia ouro.

A procura pelo metal precioso por pequenos investidores cresceu tanto nos últimos anos - sobretudo depois de 2008 -, que as corretoras passaram a negociar barras de menor valor no Brasil. A Reserva Metais, de André Nunes, por exemplo, vende barras de 5 gramas por R$ 500. Antes, o investimento mínimo era de R$ 5 mil em barras de 50 gramas.

As opções de aplicação que integram a renda fixa (fundos de renda fixa e DI, CDB e poupança) também tiveram bons resultados no fechamento do ano. Os fundos de renda fixa ganharam 9,59%; os fundos DI, 9,18%; os CDBs com aplicação superior a R$ 100 mil renderam 9,08%; a caderneta de poupança, 7,45%. Os CDBs com aplicação de até R$ 5 mil deram retorno de 7,03%; e os fundos DI de pequenos investidores, 7,34%.

Todas as opções superaram a inflação
medida pelo IGP-M, que encerrou 2011 em 5,10%.

Previsão. Os especialistas afirmam que a atual configuração do ranking de rentabilidade tende a se manter por algum tempo. Para Samy Dana, Ph.D. em finanças e professor da Fundação Getúlio Vargas de São Paulo (FGV/SP), a crise externa ainda permanecerá por algum tempo e, por isso, a bolsa continuará sofrendo. Além disso, ele diz que o risco dos investimentos em ações deve aumentar em 2012. "Em outras palavras, a variabilidade dos retornos ficará ainda maior", detalha o professor.

Os especialistas dizem, porém, que, no longo prazo, a Bovespa deve trazer ganhos aos investidores. Saber escolher papéis que estão baratos neste momento de baixa é outra indicação recorrente. Fazer compras gradativas também é prudente, dizem.

Mas a perspectiva do aumento do nível de oscilação e do risco da aplicação em ações faz os especialistas em finanças pessoais ecoarem a recomendação de cautela em 2012.

"Os mercados deverão continuar bem voláteis em 2012, por causa das incertezas sobre a solução para a crise europeia e recuperação da economia mundial", avalia Fábio Colombo, administrador de investimentos que atua no mercado há mais de 20 anos.

Crise engole uma Vale na Bolsa

Autor(es): agência o globo:Vinicius Neder
O Globo - 29/12/2011
http://clippingmp.planejamento.gov.br/cadastros/noticias/2011/12/29/crise-engole-uma-vale-na-bolsa

Otombo nos mercados financeiros, provocado pela crise europeia, engoliu R$213,6 bilhões na Bolsa de Valores de São Paulo (Bovespa) este ano. O montante representa as perdas, em valor de mercado, das 323 empresas de capital aberto (medida de quanto uma companhia vale na Bolsa, pela multiplicação das cotações pelo total de ações), segundo estudo da consultoria Economatica divulgado ontem. As perdas consideram as cotações de terça-feira e superam por pouco o valor da Vale, de R$206 bilhões. No total, as empresas analisadas encerram o ano valendo R$2,212 trilhões.
A perda do valor das empresas segue o tombo nas cotações. O Ibovespa, índice de referência da Bolsa, acumula queda de 18,43% no ano, após a forte baixa de 2,54% de ontem - não contabilizada no estudo da Economatica. O cenário mudará pouco para 2011 como um todo: hoje, a Bolsa terá o último dia de negociações do ano.
Petrobras perdeu mais: R$79 bilhões
Entre os setores que mais perderam valor este ano, destacam-se aqueles cujas ações são mais negociadas. Em primeiro lugar, o de petróleo e gás, com o enorme peso da Petrobras, que perdeu sozinha R$78,974 bilhões. O desempenho das ações da estatal, porém, segue a média do mercado. Os papéis preferenciais (PN, sem voto) da empresa acumulam queda de 18,55% no ano, próximo do Ibovespa.
- A Petrobras perde mais valor porque é a maior empresa da Bolsa - lembra o gestor de renda variável da Yield Capital, Hersz Ferman.
A estatal encerrou o pregão de terça-feira valendo R$301 bilhões, o maior valor da Bovespa.
Também por causa de seu peso na Bolsa, a Vale registrou a segunda maior queda em valor de mercado este ano: R$68,882 bilhões. Com isso, o setor de mineração também foi o segundo em perdas no estudo da Economatica. Em terceiro, ficaram os bancos. O Santander, por exemplo, viu seu valor cair R$26,439 bilhões.
Na outra ponta, setores de alimentos e bebidas, energia elétrica e telecomunicações tiveram um ano positivo, com ganhos de valor. O destaque ficou com a fabricante de bebidas Ambev, que, sozinha, viu seu valor em Bolsa saltar R$41,459 bilhões.
O estrategista-chefe da SLW Corretora, Pedro Galdi, explica que a perda de valor em alguns setores e a queda em outros é uma reação ao cenário econômico. Com as incertezas sobre o crescimento da economia mundial, as cotações das matérias-primas recuam, ameaçando o lucro das empresas exportadoras e produtoras de insumos - como os setores de petróleo e gás, mineração e siderurgia, de grande peso na Bovespa. Com essas ações em xeque, os investidores buscam alternativas.
- Investidores migram para papéis mais defensivos em épocas de crise - afirma Galdi.
São defensivas as ações de empresas com receita mais previsível, voltadas para o mercado interno e que pagam bons dividendos, como é chamada a distribuição dos lucros entre acionistas. Neste caso, energia e telecomunicações. Para Galdi, a Ambev se destaca na Bolsa porque o consumo interno está em alta.
Segundo a maioria dos analistas, a crise das dívidas soberanas na Europa destacou-se entre os fatores negativos para a Bolsa em 2011. No entanto, Fábio Nazari, chefe da área de mercado de capitais do banco de investimentos BTG Pactual, destaca que a crise externa apenas piorou o quadro. Para ele, no primeiro semestre, o movimento do mercado estava 70% atrelado a fatores locais, e, na segunda metade do ano, passou a 80% ligado ao cenário externo. No início do ano, a inflação em alta e a ação do governo para contê-la, com medidas para restringir o crédito - combinada à alta da taxa de juros (Selic) pelo Banco Central - deixaram os investidores desconfiados.
- A expectativa com a inflação levou às medidas macroprudenciais do BC, resultando na saída de recursos de estrangeiros - diz Nazari.
A soma dos fatores domésticos do primeiro semestre com a piora do quadro na Europa causou uma "tempestade perfeita", diz Nazari. Para piorar, na virada de julho para agosto, a disputa política em torno da elevação do teto da dívida pública dos Estados Unidos jogaria mais lenha na fogueira, levando ao rebaixamento do rating dos EUA pela agência Standard & Poor"s, em 5 de agosto. A partir de então, as atenções se voltaram para a Europa.
Com as perdas na Bolsa, o investimento em ações caminha para ficar entre as piores aplicações em 2011. As quedas das ações de Petrobras e Vale também afetarão os fundos FGTS-Petrobras e FGTS-Vale.
- No mundo inteiro foi um ano ruim para quem aplica em ações - destaca o administrador de investimentos Fabio Colombo.
Nem o bom desempenho dos setores defensivos ajuda. Na opinião de Colombo, para minimizar os riscos, o investidor deve montar uma carteira de ações com dez a 15 ativos, de diversos setores:
- Muitos papéis que sobem num ano foram mal em anos anteriores. O investidor não deve pôr todas suas fichas numa empresa ou setor.

Valor de mercado das empresas cai R$ 213 bi

Autor(es): MARCELO REHDER
O Estado de S. Paulo - 29/12/2011
http://clippingmp.planejamento.gov.br/cadastros/noticias/2011/12/29/valor-de-mercado-das-empresas-cai-r-213-bi
 

Segundo levantamento da Economática, queda no valor das companhias negociadas na Bovespa foi de 8,7% ante 2010

As empresas com ações negociadas na Bolsa de Valores de São Paulo (BM&FBovespa) perderam R$ 213,5 bilhões em valor de mercado este ano. Levantamento da empresa de informações financeiras Economática mostra que um grupo de 323 companhias analisadas valia R$ 2,21 trilhões na última terça-feira, comparado a R$ 2,42 trilhões no final de 2010, o que representa queda de 8,7%, sem contar a inflação do período.
Além das empresas de capital aberto que marcaram valor de mercado em dezembro do ano passado e no dia 27 deste mês, o levantamento da Economática também considerou aquelas que fizeram oferta pública inicial de ações (IPO) em 2011.
"O mercado despencou, mas não por uma peculiaridade do País", diz Einar Rivero, gerente de relacionamento institucional da Economática. "Todos os mercados caíram na América Latina", argumenta.
Na verdade, o encolhimento do valor das empresas espelha, em boa parte, as incertezas diante do cenário mundial adverso, que foi agravado pela crise na zona do euro, principal fonte de preocupação dos mercados ao longo do ano.
A sangria não deve ficar só nos R$ 213,5 bilhões de perda de valor de mercado levantados pela Economática. Ontem, o Ibovespa caiu 2,54%, em meio às notícias negativas vindas de fora do País.
Baixas. A Petrobrás foi a empresa que apresentou a maior queda nominal de valor na BM&FBovespa, da ordem de R$ 78,974 bilhões, seguida pela Vale, com R$ 68,882 bilhões de desvalorização.
Somadas, as perdas das gigantes petrolífera e mineradora chegaram a R$ 147,856 bilhões, o equivalente a quase 70% da redução do valor de mercado de todas as empresas analisadas pela Economática.
"Petrobrás e Vale sempre acabaram fazendo toda a diferença em qualquer análise que se faça", diz Rivero.
O especialista observa que a soma das dez maiores altas (R$ 99,281 bilhões) comparada com a soma das dez maiores quedas (R$ 270,534 bilhões) resulta numa perda de valor de mercado de R$ 171 bilhões.
Concentração. Rivera destaca ainda que houve uma concentração de resultados negativos em alguns setores de atividade econômica.
Entre as dez empresas que apresentaram maiores quedas de valor de mercado estão três bancos (Santander, Banco do Brasil e Itaú Unibanco), três siderúrgicas e metalúrgicas (CSN, Gerdau e Usiminas) e duas empresas de petróleo e gás (Petrobrás e OGX Petróleo).
Mas as baixas foram generalizadas. Dos 23 setores em que as empresas analisadas atuam, nada menos que 16 apresentaram queda de valor de mercado.
O setor de petróleo e gás foi o que teve a maior queda de valor, de R$ 96,824 bilhões. O valor das seis companhias de capital aberto do setor caiu de R$ 456,365 bilhões, no final de 2010, para R$ 214,943 bilhões na última terça-feira.
Já o setor de alimentos e bebidas foi o que registrou maior aumento de valor de mercado, da ordem de R$ 48,977 bilhões.
A Ambev foi responsável por esse crescimento. Ela foi a empresa que teve o maior crescimento de valor de mercado: R$ 41,4 bilhões.
Entres os setores em que houve crescimento de valor de mercado das empresas estão energia elétrica, telecomunicações e software e dados.

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